Nuages

Lantzelot

Il est de retour ! 

 

Lantzelot, the inCNOKuptible reprend du service pour notre plaisir de lecture à toutes et à tous !

Et une nouvelle Loi de santé... Une ! à lire.

Après 6 mois de silence, une petite chronique pour le plaisir ! à lire.

En Mai... à lire.

11 ans... Et quoi ? À lire.

Chronique sérieuse... La suite ! À lire.

Chronique sérieuse et... Météorologique ! À lire.

Un général peut en cacher un autre. À lire.

Être Juste ou Discriminatoire... Telle est la question. à lire.

La fête des chaises musicales... ! à lire.

La monarchie absolue est de retour ! à lire.

Élections je vous aime... à lire.

Nul n'est censé ignorer la Loi... à lire.

Le Mensonge En Marche... à lire.

Madame la Ministre... à lire !

Vive le Roi !... à lire

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Wanted

 

 

La popularité de notre Macronissime Président est toujours en chute et chacun y va de son explication.

Alors en suite de la chronique sérieuse du 27 juillet, une analyse personnelle ! 

Cette chute est en lien avec les décisions prises qui pour certaines peuvent être interprétées comme cet adage : « Faites ce que je dis mais pas ce que je fais ! ».

Et pourtant convaincus nous sommes de la nécessité de réformer mais pas n’importe comment et pas partiellement ou au détriment des « petits ».

Réformer le code du travail est probablement essentiel mais il faut le simplifier, comme l’ensemble des codes qui parfois se contredisent.

Le simplifier ne veut certainement pas dire dérèglementer les droits des travailleurs et rendre les emplois non pas flexibles mais précaires.

Le mal de notre société est dans la disparition de milliers d’emplois remplacés par l’automatisation pour économiser des salaires et augmenter les dividendes des actionnaires et les rémunérations des PDG.

La France ne produit pas de matière première. Nous le savons depuis longtemps. 

La France n’a pas de pétrole mais elle a des idées !

Les idées ne suffisent pas et seuls les emplois de services et de services publics pourront générer des emplois mais si personne n’a les moyens de payer les services, les services ne fourniront aucun emploi.

Les services à la personne en sont un bon exemple. Les retraités sont probablement une population qui a besoin de services. Mais avec une retraite de 1200euros, considérée comme suffisante pour ne pas échapper à la CSG, comment se payer des services ?

Attention, il n’est pas question d’augmenter le nombre des fonctionnaires de « haut vol » mais bien ceux qui sont utiles.

Tous les services de l’Etat sont en déliquescence par manque de « mains ». Manque d’infirmières de kinésithérapeutes de médecins, etc. dans les hôpitaux. Manque de juges, et de personnels dans les tribunaux. Manque de policiers pour les multiples missions de protection de la population.

Et au-delà des personnels, il y a l’obsolescence des moyens matériels quand ce n’est pas l’absence.

Et dans des budgets contraints l’augmentation exponentielle de l’administration qui ne connait pas de numerus clausus se fait depuis des années au détriment de ceux qui sont utiles.

Mais il n’y a pas que la fonction publique qui a des responsabilités. Les actionnaires avides de gains prennent des décisions purement comptables qui détruisent les emplois de base et de proximité qui sont un ciment sociétal indispensable dans cette émergence de l’individualisme et du désengagement car la confiance en un avenir n’existe plus. Et la « confiance » envers les politiques n’est pas en reste sur cette destruction mais les politiques sont les seuls responsables.

Pour revenir à ce que la République en Marche aux ordres de son égérie Emmanuel 1er met en musique, les fausses notes sont nombreuses et le risque d’une cacophonie est imminent.

Comment penser que les citoyens puissent accepter la limitation des indemnités prud’homales en cas de licenciement abusif pendant que la Ministre qui porte cette « avancée » sociale bénéficie de centaines de milliers d’euros de « parachutes dorés » ?

Comment penser que la baisse de 5euros d’aide au logement soit perçue comme équitable alors que tant de logements de fonction et autres logements de complaisance existent ? C’est une réforme globale qui est nécessaire et les économies seront au rendez-vous.

Ne pas employer de membres de sa famille quand on est parlementaire, pourquoi pas, mais c’est surtout l’opacité des rémunérations qui est à combattre. 

Et comment ne pas s’interroger quand dans le même temps un « statut » de première dame était en gestation ? Et si ce statut tombe sous la pression des pétitions et sondages le questionnement reste sur les activités de la reine Brigitte !

C’est un(e) Président(e) de la république que nous élisons, pas un couple. Que le (la) conjoint(e) de l’élu soit nourri(e), blanchi(e), logé(e)  à l’Elysée, soit, puisque c’est la demeure Présidentielle. Qu’une protection soit accordée aussi. 

Mais que nos impôts servent à payer des collaborateurs alors que nous devons faire toujours plus avec moins, ce n’est pas acceptable. Cela est d’autant plus déroutant quand au plus haut de l’Etat la parole est soi-disant à la moralisation. 

Si vous ajoutez à cela les comptes en banques personnels des intéressés, l’incompréhension n’est que légitime et la défiance sera logique. Si le besoin de collaborateurs existe, ils doivent être à la charge personnelle du Président et de son épouse.

Restons sur le registre de la moralisation de la vie publique et politique, si la bascule des retraites des parlementaires sur le régime général est un bon point comme la fin de la réserve parlementaire ou le remboursement sur note de frais, il ne faut pas s’arrêter là. 

Ce n’est qu’une petite partie visible de l’iceberg. Il faut en finir avec les privilèges et abus qui existent dans toutes les structures publiques ou privées chargées de missions de service public.

Les ordres professionnels doivent être une cible privilégiée pour ceux qui veulent que la moralisation de la vie publique et politique, comme la transparence, soit autre chose que poudre aux yeux !

En plus d’être opaques, ils sont tribunaux d’exception, contradictoires avec notre Constitution et notre République, alors leur suppression ne serait que morale et redonnerait tout son sens à : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ». 

Lantzelot  

La météo, tant celle du ciel que celle de la politique est perturbée.

La température est en dessous des normales de saison sur la quasi-totalité du pays, et le pourcentage de satisfaction du Président de la République est aussi en baisse et rien ne dit que la satisfaction remontra avec les températures si elles redeviennent plus clémentes et retrouvent des valeurs estivales.

Malgré ces baisses, cela chauffe et nous ne parlons pas des dramatiques incendies qui ravagent les hectares des magnifiques paysages du Sud de la France et de la Corse !

Ce qui chauffe c’est le climat social en lien avec des décisions qui apparaissent absurdes et toujours ciblées vers les plus démunis et les classes moyennes dont la situation ne fait qu’empirer au fil du temps.

Cela alors même que notre nouveau Président a été élu pour des idées fortes de transparence, de moralisation mais aussi de meilleure répartition des « richesses » et d’économie.

Si ces principes ne peuvent que trouver de l’approbation, il est certain que la manière de faire et les décisions prises amènent déceptions, ressentiments et risquent de mener à une nouvelle défiance de la politique et des politiques.

Le risque est que la République en Marche devienne une Marche de Rejet et les responsables seront ceux, et seulement ceux qui, à la plus haute fonction de l’Etat, au gouvernement et au parlement auront encore une fois déçu le peuple qu’ils sont censés représenter et défendre.

Il est vrai que la « représentation » du peuple est un concept relatif et qu’à lui seul il pose question.

En effet, nous avons tous en mémoire que ce mouvement en marche pour un avenir meilleur devait être différent et représenter toutes les couches sociales de notre société et être paritaire.

Si personne ne peut nier que la parité femme/homme était bien présente, nous sommes loin du compte dans la répartition de la représentation des couches sociales dans cette République en Marche qui, si nous y regardons de près, semble plus être une représentation élitiste que sociale.

Si nous avons trouvé quelques « petits » dont une infirmière, une kinésithérapeute, des instituteurs, quelques fonctionnaires (!) de catégorie C nous avons fait le malheureux constat que majoritairement les élus en Marche sont des « grands ».

Avec un groupe important de Directeurs de société, d’entrepreneurs mais aussi de directeurs de ressources humaines et autres chefs de projets ou ingénieurs. A croire que les Directeurs de société ont du temps à perdre quand ils dirigent leur entreprise !

Nous ne pouvons ignorer, les avocats, les médecins, présents en nombre comme les universitaires ou encore les fonctionnaires de catégorie A ou les hauts fonctionnaires.

Cette débauche de « fonctionnaires » questionne car être fonctionnaire n’est pas une profession, c’est un statut et en se présentant comme « fonctionnaires » que cachent donc-t-ils ?

Ont-ils honte de leurs activités ?

Il est vrai que nous trouvons aussi des « métiers en rapport avec l’enseignement » ou des « autres professions » !

Rien qu’à ces présentations biographiques présentes sur le site de l’Assemblée Nationale, nous pouvons dire que la transparence est plutôt opaque !

Entre cette opacité et l’élitisme des élus du mouvement de notre Président nous pouvons comprendre les difficultés de prendre des décisions qui ne soient pas au détriment des classes moyennes et si vous ajoutez les « anciens » élus habitués aux privilèges d’être élu et de bénéficier des largesses de la République, il n’est pas acquis que la moralisation de la vie politique et publique satisfasse le peuple.

D’autant que parfois l’impression d’un double langage laisse un goût amer.

(à suivre…)

 

Lantzelot

Quand la JUSTICE est discriminatoire c’est que la Démocratie est en danger.

A raison, le Conseil d’Etat dans sa lecture du 28 juin a décidé que l’Etat devait verser à l’ONI (ordre infirmier qui comme nous le savons tous est en difficulté financière car « soutenu » par l’ensemble de la profession !) la modique somme de 33100€uros.

Cela, conformément au retard de publication du décret d’inscription automatique à l’ONI.

Le Conseil d’Etat a calculé le nombre de jours, 331, entre sa décision indiquant que le Ministère de la Santé devait publier le décret et la date de parution, et validé une astreinte financière journalière de retard.

La logique est respectée !

Là où la discrimination, éminemment politique, se dévoile et indique clairement « l’indépendance » de cette juridiction, la plus haute d’un point de vue administratif, c’est que le syndicat ALIZE, sur la même problématique a patienté près de 2 ans entre la décision du Conseil d’Etat en sa faveur et la publication par le Ministère, sans qu’aucune compensation d’astreinte financière journalière de retard ne lui soit allouée.

Il est vrai que la situation est différente !

En effet, l’Etat met tout en œuvre pour qu’ALIZE disparaisse, le refus de sa représentativité en atteste, et met tout en œuvre pour faire perdurer l’ONI, et avec lui le CNOK et les autres ordres professionnels si « chers » à ceux qui y sont soumis.

Clairement, sans égalité, sans équité, sans honnêteté, sans morale, sans respect des aspirations majoritaires, donc sans conscience mais avec privilèges et abus, la République du Pays des Droits de l’Homme est bien malade.

 

Lantzelot

Le mercredi 19 juillet, notre Macronissime Emmanuel 1er a accepté la « démission » du Général Pierre de VILLIERS qui était le Chef d’Etat-Major des Armées.

Son remplaçant a été immédiatement trouvé, et était le seul retenu pour ce poste qui n’est plus celui du « Chef des armées » c’est-à-dire celui qui connait les besoins des armées pour assurer les missions, multiples et dangereuses, demandées et validées par les « Politiques » mais le poste de celui qui doit faire toujours plus avec moins donc risquer encore plus la vie de ses hommes. 

Faire plus avec moins est devenu un principe de fonctionnement de la France. Mais en fait le moins est toujours ciblé là où les moyens devraient augmenter.

La santé de nos concitoyens étant une des raisons de notre engagement, nous connaissons bien ce principe de faire toujours plus avec moins car c’est la triste réalité dans les hôpitaux. Attention, nous ne parlons pas de la réduction des postes de directeurs, directeurs adjoints et autres chargés de missions qui sont multipliés encore et encore. Nous parlons des forces vives, dont ont besoin les patients hospitalisés, que sont les personnels de soins, les personnels de rééducation, principalement les kinésithérapeutes, les médecins, et les équipements, médicaments, produits logistiques indispensables au bon fonctionnement. Sans oublier le temps qui manque qui est la conséquence du manque de moyens humains pour que les établissements de santé restent des lieux humains.

Mais revenons aux « aventures » militaires de ces derniers jours avec en point d’orgue, le 14 juillet et son fameux défilé. Et loin de nous l'idée d’une couleur péjorative à ce « fameux défilé » qui met à l’honneur les troupes de la Nation, tant pour un passé personnel que familial.

Cela même si nous avons conscience du coût d’un tel évènement, il est important qu’il perdure car c’est le moment de saluer celles et ceux qui risquent leur vie pour les autres.

Au-delà de ces considérations personnelles, nous retiendrons plusieurs « faits d’armes » de ce défilé.

Si honorer le centenaire du premier débarquement des américains en terre de France est une intention louable, il ne faut pas oublier que ce n’était pas une volonté de l’Amérique mais des initiatives personnelles et volontaires d’hommes souhaitant défendre les terres de leurs ancêtres en venant au combat ou en finançant moyens humains et matériels. Ou parce qu’ils avaient une idéologie de ce que représentait la liberté ou estimaient avoir une « dette » envers ces Français venus les aider à conquérir leur indépendance.  

Donc ce défilé fût d’abord un magnifique coup de « PUB », coup de « COM », très bien orchestré et médiatisé, aux bénéfices d’un Président des USA controversé y compris par ses proches qui aura reçu une belle légitimité de la France, pays de La Fayette et qui a largement contribué à l’indépendance des États-Unis d’Amérique, outre de lui avoir fait réviser un peu de géographie et d’histoire ! 

Mais les bénéfices vont également à notre Emmanuel 1er, qui ne connait pas le temps des drapeaux, mais a fait « copain – copain » avec Donald défenseur invétéré de l’auto défense et du permis de tuer, les 2 mamelles du rêve américain ! 

L’Américain et le Français, main dans la main pour être défenseurs du monde libre. Et notre Président du Royaume de la République de France étant prêt à en découdre en cas d’utilisation d’armes chimiques. Espérons que ce n’est pas pour tout de suite car la coupe budgétaire de 2017 serait dévastatrice pour nos soldats. 

D’ailleurs, parmi les soldats qui ont défilé, je salue les hommes du 1er RHP, qui étaient mes « voisins » il y a quelques années !

Tous ceux qui ont défilé méritent notre respect et mériteraient que nous les citions mais cela n’est pas possible et ce n’est pas l’objet de cette chronique.

Mais un moment particulier du défilé est à retenir. Celui où les juristes des armées descendaient cette avenue que nous appelons la plus belle avenue de monde. Car ceux qui étaient attentifs ont retenus les commentaires des journalistes. Ces professionnels de l’information et de l’histoire des « armes » nous ont rappelés que les tribunaux militaires avaient été supprimés afin que tout homme du rang ou gradé, suspecté de délit soit jugé par la Justice de la République. 

Et que la Cour de Justice de la République, également juridiction d’exception, allait bientôt suivre le même chemin et disparaitre.

Cela confirme ce que nous disons et demandons. Les juridictions d’exception que sont les ordres professionnels par leurs chambres disciplinaires doivent disparaître de notre démocratie.

Pour cela, la nouvelle Assemblée Nationale à la main et la loi sur la moralisation de la vie politique et publique est l’occasion de respecter la Constitution du Pays des Droits de l’Homme.

Mais voilà, sur quels votes pouvons-nous compter pour obtenir cette véritable moralisation de la vie politique et publique ?

Les « hommes » de La Marine ?

Les Républicains fictifs ?

Les pseudos Socialistes ?

Les Marcheurs ?

 

Lantzelot

En ce 21 juin, premier jour de l'été c'est également la fête de la musique et il fait chaud !

Il fait chaud aussi pour les Ministres qui sont invités à la Fête des Chaises Musicales !

Cela permet au Macronissime et à son Ministre en Premier de faire le ménage. En fait c'est un semblant de ménage car pour le moment nous sommes loin de la "blancheur immaculée" qui était promise au peuple du Royaume de la République de France.

Mais il est vrai qu'en été, le grand ménage de printemps n'est plus de mise et avec la canicule, c'est avec bien peu d'enthousiasme que l'on se met à la tâche et cela fait tache !

Alors on déplace ses pions en les enlevant du fauteuil de Ministre et en les posant dans un siège de député et de chef de groupe.

Un dépoussiérage de circonstance qui risque de ne pas satisfaire même si dans un MOuvement DEMocratique certains ont déclaré qu'ils préféraient partir plutôt que de se faire limoger pour des faits qui étaient connus mais qui, dans un espoir que les citoyens aveuglés et assourdis par la Macromania qui a envahie la France, ne s'en aperçoivent pas.

Mais voilà, la France c'est maintenant une majorité silencieuse avec près de 60% d'abstention et si nous ajoutons ceux qui ont voté pour construire une opposition républicaine à notre nouveau Roi il n'est point besoin de calculs compliqués pour constater qu'il n'y a pas de réelle légitimité à cette Nationale Assemblée en Marche.

Mais en marche... vers quoi ? vers qui ? vers où ? Et avec qui ? 

Car avec 1 Ministre en Premier, 19 Ministres et 10 Secrétaires d'Etat, nous sommes loin de l'équipe resserrée annoncée par le futur Emmanuel 1er pendant sa campagne d'accession au trône. Il est vrai qu'il en faut un peu pour tout le monde !

Il en faut pour les Marcheurs, pour les pseudos Socialistes qui collaborent, pour les Républicains fictifs afin de les amadouer, pour les Constructifs qui cherchent une place au soleil, et ne pas oublier une pincée pour le MODEM afin de valider les démissions "volontaires" de ceux qui veulent être libres pour se concentrer sur leur défense.

Mais, comme à chaque fois nous jugerons sur les faits et puisque le Garde des Sceaux a changé de visage, nous attendrons de voir ce qu'il advient du projet de moralisation de la vie politique et publique et si le concept de juridiction d'exception est toujours de mise et signera enfin la fin de ces juridictions antirépublicaines et d'exception que sont les juridictions disciplinaires des ordres professionnels. Et tant qu'à faire les choses, qu'elles soient bien faites et complètement en supprimant ces ordres professionnels, véritables hontes démocratiques.

Nous serons donc attentifs à la nouvelle championne de la Justice même si nous avons, mais nous ne demandons qu'à avoir tort, un apriori négatif bien que nous lui reconnaissons d'avoir eu le courage de suivre ses convictions en démissionnant de la haute fonction publique. Ce qui mérite d'être souligné.

Apriori négatif car Nicole BELLOUDET vient du Conseil d'Etat et le parallèle avec notre Marie Sol Tourneveste est facile puisqu'elle aussi avait officié au Conseil d'Etat. Et cet avis négatif est renforcé par certaines décisions favorables à nos chers, très chers Chevaliers du Nouvel Ordre des Masseurs-Kinésithérapeutes malgré les "trous" juridiques et législatifs qui, curieusement, ont progressivement été comblés grâce au soutien sans faille de MST comme à la lenteur de condamner l'Etat pour défaut de décret. Ce qui fait beaucoup pour cette institution censée être le garant du respect de la législation en toute indépendance. Ce que clairement nous n'avons pas perçu dans différentes décisions.

 

Lantzelot